La première résolution recommande la standardisation des environnements : choix d'une distribution principale (ex. Ubuntu LTS), gestionnaire de paquets adapté, et adoption de dotfiles partagés (~/.bashrc, ~/.zshrc, ~/.gitconfig) pour homogénéiser les postes. Il est aussi proposé d'encourager l'utilisation de containers (Docker/Podman) et de machines virtuelles pour isoler les projets et faciliter les déploiements reproductibles.
La deuxième résolution porte sur les outils et workflows : promouvoir Git et bonnes pratiques (authentification SSH, hooks), fournir un guide d'installation pour éditeurs/IDE (Neovim, VS Code), et normaliser les gestionnaires de dépendances (npm, pip, cargo, go mod). L'assemblée décide également d'intégrer des pipelines CI/CD (GitHub Actions/GitLab CI) et d'inciter à l'automatisation via Makefiles et IaC (Ansible/Terraform).
La troisième résolution aborde sécurité et observabilité : appliquer le principe du moindre privilège pour les services, centraliser la gestion des secrets (Vault/pass), et mettre en place des outils de monitoring et de profiling (Prometheus, Grafana, perf/pprof). L'assemblée mandate la création d'un document de procédures pour mises à jour, gestion des logs et tests automatisés afin d'assurer qualité et robustesse des déploiements.

Conclusion :

L'assemblée extraordinaire adopte ces résolutions avec pour objectif de déployer progressivement Linux comme socle commun, améliorer la collaboration entre développeurs et renforcer la sécurité et la fiabilité des projets de l'association.